Ars En Ré.

Il ya beaucoup de monde au ponton visiteurs,nous sommes à couple en 4ème position. Le lendemain la plupart s'en vont c'est un peu plus calme. Visite de la ville très fleurie, grand marché quotidien, puis dans l'après-midi promenade sur les plages de l'ouest. Avec Jean-Claude nous faisons les éclaireurs,le reste de la flottille doit bientôt nous rejoindre.Vent d'Ouest et Réplic arrivent à la marée du 22. Le soir nous fêtons nos retrouvailles à bord de Réplic. Le 23 Daniel un ami de La Rochelle vient nous rendre visite. Il nous amène visiter la plage de Saint Clément les Baleines (Christine, Yolande, Jean-Claude, Francis) une pleine voiture, à pied c'est trop loin.Très bonne baignade. Dans la soirée Moby Dick vient nous rejoindre, (Isabelle et Jean-Philippe).

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La rubrique de "Gratton de Lormont"

QUAND
LES TURBULENTS SE METTENT AU VERT
….DE LA VENISE !

Juillet 2008 (suite)

Retrouvailles avec Francis et Jean-Claude de Rhéa qui est dans le petit port du centre ville d’Ars en Ré.
Grande nouvelle : Vent d’Ouest a retrouvé un wc opérationnel. Avec un mat posé sur le pont plutôt qu’une cuvette, il a retrouvé toute sa dignité.
Anecdote : en train de prendre l’apéro dans le carré de Réplic, un vieux gréement se pointe à l’entrée du port. Christine s’exclame « c’est Cornu, c’est Cornu ». Et de se précipiter dans le cockpit avec force gestes « ouh ouh, Cornu, Cornu ». Le vieux gréement passe à côté de nous, son barreur roule des yeux effarés, c’est pas Cornu ! Christine revient dans le carré, on a tous les yeux qui pleurent de rire !
Seconde anecdote : des garnements désoeuvrés viennent fureter dans le cockpit de Réplic puis depuis le quai (exploit impossible dans le marais poitevin, urinent sur le pont de Rhéa, laissant croire à Jean-Claude qu’il pleut.
Troisième anecdote : l’écluse (décidément) du port d’Ars, réputée automatique, s’ouvre trop tard à la marée montante (toujours la technique défaillante). La différence de hauteur d’eau avoisine les 50 cm, provoquant un mini-torrent contre les bateaux stationnés juste derrière.

Joël BECHELER

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